Le groupe Akebono, censé reprendre la division freinage de l’usine Bosch à Saint-Barthélémy d’Anjou, n’est plus acheteur. Et le temps presse.
Game Over. Fin des négociations. Le groupe japonais Akebono, fort de 5 000 salariés à travers le monde et initialement susceptible de reprendre la division freinage de l’usine Bosch de Saint-Barthélémy d’Anjou, ne sera pas le repreneur espéré. Tant pis, le directeur Patrick Michiels se doit, d’ores-et-déjà tourner, la page et de partir à la recherche d’un nouveau partenaire. Car trouver une « solution de remplacement » devient « urgent », aux dires de Jacques Cadix, de la CGT.
« Nous savons que notre division ne peut pas être pérenne dans l’organisation actuelle. Le coût des structures est trop élevé par rapport à la concurrence. » Les 450 employés et 100 intérimaires de Bosch craignent à présent une reprise par une entreprise déjà présente dans le freinage, et les conséquences sur leur emploi qui pourraient en découler, via une restructuration importante (source : Ouest France).